Le dessin en vue subjective sert une investigation de l’altérité de mon propre corps et apaise mes difficultés à l’habiter.
Chaque spectateur devient la tête de ce corps qui s’impose à leurs regards et revendique un exhibitionnisme indocile, à rebrousse-poil de l’idéalisation du corps féminin.
Imprimée à l'Atelier A Fleur de Pierre, avec le soutien de la Fondation Bettencourt Schueller. Exposée au Wonder à Saint Ouen pour "Söper - mythologies collectives".